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Jul 28, 2023

C'est arrivé — 25 juillet : naissance du premier « bébé éprouvette »

On estime que 700 soldats qui ont défendu Marioupol restent en captivité russe. Alors que les échanges de prisonniers s’avèrent difficiles, les proches attendent nerveusement des nouvelles. Le soldat "Azov" Valery, retenu captif pendant

On estime que 700 soldats qui ont défendu Marioupol restent en captivité russe. Alors que les échanges de prisonniers s’avèrent difficiles, les proches attendent nerveusement des nouvelles.

Le soldat "Azov" Valery, retenu captif pendant près d'un an.

Kyiv — Environ 700 soldats du bataillon Azov, qui défendait Marioupol, sont toujours en captivité russe. L'échange de prisonniers de guerre est difficile, mais l'État et les proches se battent pour chaque soldat ukrainien.

Le chagrin ressenti par ceux qui ont perdu leur mari, leur fils et leur père est au-delà des mots. La situation de ceux qui attendent le retour de leurs soldats chez eux est tout aussi préoccupante. Souvent, ils se retrouvent dans le noir, sans aucune information sur le statut de leurs proches. L’angoissante incertitude quant à savoir s’ils pourront un jour se réunir ne fait qu’amplifier leur détresse.

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Kateryna (29 ans) et son mari, le soldat d'Azov Valeriy (26 ans) sont nés à Berdiansk – dans la région de Zaporizhzhia, actuellement occupée par les troupes russes – où ils sont sortis ensemble pendant plusieurs années.

Avant le début de la guerre, elle travaillait comme cuisinière et lui était serveur dans un restaurant voisin. En 2016, il a été appelé au service militaire. Il a servi pendant deux ans. A son retour en 2018, le jeune couple se marie. Au même moment, Valeriy décide de rejoindre l'Azov.